histoire
L'histoire du premier transcontinental européen, reliant Paris à Constantinople, remonte à 1883 et reste depuis sa création dans toutes les mémoires. L'Orient-Express, train devenu mythique, ne peut cependant pas être dissocié de l'entreprise qui l'a créé, la Compagnie Internationale des Wagons-Lits. Créée en 1876 par un ingénieur belge originaire de la ville de Liège, Georges Nagelmackers, c'est elle qui introduit un nouveau type de matériel roulant observé aux États-Unis sur le continent européen : les wagons-lits. Ces voitures contribuent largement à l'amélioration du confort, de la sécurité et de la vitesse des voyages ferroviaires à la fin du 19e siècle.
A partir de 1883, la compagnie développe un réseau de trains de luxe qui parcourent l'Europe, et au-delà le Maghreb, le Moyen-Orient et l'Asie. Nord-Express, Sud-Express, Étoile du Nord, Flèche d'Or, Taurus-Express ou encore Train Bleu, autant de noms qui évoquent à eux seuls l'évasion et l'expérience singulière provoquées par le voyage ferroviaire. L'Orient-Express, en tant que première réalisation de l'entreprise, incarne l'âge d'or des trains de luxe.
L'héritage attaché à l'Orient-Express est directement relié à l'histoire de la compagnie des wagons-lits. Celui-ci dépasse la dimension matérielle notamment incarnée par les voitures historiques. Son patrimoine est complet, à la fois matériel et immatériel. Voitures, objets, archives convoquent la matérialité du train et de la compagnie, tandis que les paysages, les mémoires ou plus largement les cultures son immatérialité.
L'Orient-Express n'est plus seulement un train, mais un ensemble de représentations, d'images et de fantasmes qui ont façonné son histoire et élargi sa dimension patrimoniale.
En tant qu'entreprise internationale, les archives couvrent et sont reliées à l'ensemble de ses trains de luxe.
histoire
L'histoire du premier transcontinental européen, reliant Paris à Constantinople, remonte à 1883 et reste depuis sa création dans toutes les mémoires. L'Orient-Express, train devenu mythique, ne peut cependant pas être dissocié de l'entreprise qui l'a créé, la Compagnie Internationale des Wagons-Lits. Créée en 1876 par un ingénieur belge originaire de la ville de Liège, Georges Nagelmackers, c'est elle qui introduit un nouveau type de matériel roulant observé aux États-Unis sur le continent européen : les wagons-lits. Ces voitures contribuent largement à l'amélioration du confort, de la sécurité et de la vitesse des voyages ferroviaires à la fin du 19e siècle.
A partir de 1883, la compagnie développe un réseau de trains de luxe qui parcourent l'Europe, et au-delà le Maghreb, le Moyen-Orient et l'Asie. Nord-Express, Sud-Express, Étoile du Nord, Flèche d'Or, Taurus-Express ou encore Train Bleu, autant de noms qui évoquent à eux seuls l'évasion et l'expérience singulière provoquées par le voyage ferroviaire. L'Orient-Express, en tant que première réalisation de l'entreprise, incarne l'âge d'or des trains de luxe.
L'héritage attaché à l'Orient-Express est directement relié à l'histoire de la compagnie des wagons-lits. Celui-ci dépasse la dimension matérielle notamment incarnée par les voitures historiques. Son patrimoine est complet, à la fois matériel et immatériel. Voitures, objets, archives convoquent la matérialité du train et de la compagnie, tandis que les paysages, les mémoires ou plus largement les cultures son immatérialité.
L'Orient-Express n'est plus seulement un train, mais un ensemble de représentations, d'images et de fantasmes qui ont façonné son histoire et élargi sa dimension patrimoniale.
En tant qu'entreprise internationale, les archives couvrent et sont reliées à l'ensemble de ses trains de luxe.
